Samedi 17 mai 2014 -Alep:
Vidéo spécial, des centaines de cas d’intoxication des Citoyens d’Alep après que les terroristes ont coupés l’eau potables pendant dix jours
Alep, la capitale de la soif est un nouveau type d’attaque utilisé par des groupes terroristes armés contre la ville d’Alep, après avoir ciblé des quartiers sûrs par les différents types de coquillages, ils ont coupés l’eau de la ville.
Longues rangées d’enfants et d’adultes se sont mobilisés devant les réservoirs des lieux de cules pour remplir leurs bouteilles et jerricanes d’eau de puits souvent non potable et manque type de stérilisation, ce qui a conduit à l’empoisonnement et la diarrhée, surtout chez les enfants.
Et les hôpitaux ont été submergés de patients qui souffre d ‘inflammation à l’estomac à cause de bactéries ; les Hôpitaux publics continuent de recevoir des patients pour traitement surtout en dépit de l’absence de médicaments en raison du siège imposé à la ville d’Alep.
Alep :
Deux martyrs et 19 blessés dans une attaque terroriste au mortier contre Alep
Alep / Deux civils sont tombés martyrs et 19 autres ont été blessés du fait de la chute d’obus de mortier sur le quartier de Bab al-Faraj dans la ville d’Alep, selon une source au gouvernorat.
Dans la banlieue de Damas, quatre citoyens, dont un enfant, ont été blessés dans des attaques terroristes aux obus de mortier contre Dahyet Harasta dans la banlieue de Damas.
Turquie: 301 morts, arrestations après une manifestation interdite
Ajoutée le 17 mai 2014
Au moins 36 personnes, dont 8 avocats, ont été interpellées samedi 17 mai 2014, à Soma en Turquie, au lendemain d’une violente intervention policière contre des manifestants, qui exigeaient la démission du gouvernement après la catastrophe minière survenue mardi dans une mine de la ville. Ces personnes ont été arrêtées pour avoir violé l’ordre du gouverneur local interdisant toute manifestation à Soma
Sissi affirme l’importance du règlement pacifique de la crise en Syrie
Le Caire / Le candidat à la présidentielle égyptienne le général Abdel Fattah al-Sissi a affirmé l’importance du règlement pacifique de la crise en Syrie de façon à garantir sa souveraineté et éliminer le danger des extrémistes takfiristes.
Dans un entretien accordé au journal égyptien « al-Ahram », publié aujourd’hui, Sissi a jugé « très important » de régler la crise en Syrie pacifiquement pour ne pas arriver jusqu’à la division de ce pays et pour mettre fin à la souffrance du peuple syrien.
Il a insisté aussi sur la nécessité de liquider les extrémistes et les takfiristes pour ne pas créer une nouvelle Afghanistan dans la région.
Elimination de terroristes à Daraa et à Khan al-Chih dans la banlieue de Damas
Gouvernorats/ L’armée arabe syrienne a repoussé une tentative d’infiltration menée par des terroristes à partir de Dar Kabiyrah dans la banlieue de Homs vers l’un des points militaires, près de carrefour de Dweir, tuant et blessant nombre de terroristes et détruisant leur véhicule avec dedans, selon une source militaire.
La source a ajouté que des unités de l’armée avaient visé des rassemblements des terrorsites et éliminé nombre de terroristes, qui s’y trouvaient dans le village d’Aydoun, au nord d’Ameriyah à Talbissah et aux forêts d’Arssal dna sla banlieue-sud de Qusseir.
D’autres regroupements des terroristes ont été ciblés, alors que un véhicule chargé des munitions a été détruit, dans le village de Joumaqliyah et à Bait Om Riad à Rastan.
Dans la banlieue-est de Homs, l’armée arabe syrienne a tué et blessé nombre de terroristes dans le village d’Abaiykah au nord du village de Katmalo, alors qu’elle a détruit un véhicule avec dedans entre le village de Sultaniyah et Salam Gharbi.
Dans le village de Khaldiyah une autre unité a détruit un repaire des terroristes et tué les terroristes qui étaient dedans.
De même, des unités de génie ont poursuivi leurs missions dans le désamorçage des engins explosifs et les charges plantés dans les quartiers de la vieille ville de Homs, ainsi la coopération avec les services compétents dans le but de réhabiliter de l’infrastructure et faciliter le retour des habitants dans leurs foyers.
Elimination de terroristes, dont certains de nationalité étrangère à Daraa
A Daraa, des unités de l’armée ont tué et blessé nombre de terroristes, dont huit chefs des groupes armés au cimetière de Bahar, à Jomrouk Qadim et au bâtiment de journalistes à Daraa al-Balad. Parmi les terroristes tués figuraient : Le Palestinien Omar Abou Sariyah, chef de la soi-disant » Brigade de Tawhid ».
De même, d’autres unités ont visé des rassemblements des terroristes à l’ouest de Sijnah, au nord de la vieille mosquée au quartier ouest et dans les deux localités d’Attman et Dael, tuant et blessant nombre d’eux.
Dans la zone entre les deux localités de Qittah et Salmine dans la banlieue de gouvernorat, une unité de l’armée a désamorcé 18 mines anti-chars et 4 engins explosifs pesant entre 30et 100 kg.
L’armée a aussi détruit un tunnel avec les terroristes qui s’y trouvaient dans le quartier de Manchya à Daraa.
Une source militaire a souligné que des unités de l’armée arabe syrienne poursuivent leurs opérations contre les groupes terroristes armés dans la ville de Nawa et les collines périphériques dans la banlieue de Daraa et visent les rassemblements des terroristes à Jassem, Ankhel et Tesseil.
Destruction d’un entrepôt d’armes et de munitions dans la banlieue de Damas
Dans la banlieue de Damas, d’autres unités de l’armée ont tué 20 terroristes, blessé d’autres et détruit un entrepôt d’armes et de munitions au sud du khan antique dans la zone d’Abbassiyah à la périphérie de Khan al-Chih, selon une source militaire.
La source a ajouté que 30 autres terroristes ont été tués, alors que leurs armes et munitions ont été détruites dans la rue de Charaf à l’alentour de Khan al-Chih.
De même, un groupe terroriste armé a été éliminé, près de l’usine de Nestlé à l’est de Khan al-Chih.
Toujours dans la banlieue de Damas, la correspondante de SANA sur le terrain a fait noter que des unités de l’armée arabe syrienne avaient effectué nombre d’opérations spécifiques, sur l’axe-nord de la localité de Mlehan, près de la société de Tameco pour l’industrie pharmaceutique, dans les fermes de Nachabiyah au fond de Ghouta-est et dans les fermes d’Alliyah à Douma, lesquelles s’étaient soldées par la liquidation de nombre de terroristes, dont certains étaient affiliés au » Front Nosra » et la destruction de leurs armes. Parmi les terroristes liquidés figurait : L’Algérien Mahfoudh Nasslah.
A Adra al-Balad, l’armée a éliminé des terroristes affiliés au soi-disant » Front Islamique », dont Khaled Ayoub et détruit un véhicule avec les terroristes à bord dans la cité ouvrière d’Adra.
La correspondante a ajouté que d’autres unités avaient détruit des repaires de terroristes près des boulangeries de Hawache et près de la mosquée de Huzayfa Bin Yaman sur l’axe-est à Jobar.
Au mont-ouest de Zabadani, une autre unité a mené une opération spécifique, abattant des éléments d’un groupe terroriste armé, dont la plupart étaient de nationalités libanaise et Yéménite et détruisant leurs armes et munitions.
Près du point de passage de Zamrani dans les forêts de Qarah, sur les frontières syro-libanaises, nombre de terroristes ont été tués et blessés, dont Firas Dhaher.
A Darayya, d’autres unités se sont accrochées avec des éléments des groupes terroristes au centre de la ville, avaient tué huit parmi eux, blessé d’autres et détruit les armes et les véhicules étaient en leur possession.
Aortement une tentative d’infiltration des terroristes vers les zones sûres à Alep
A Alep, une unité de l’armée arabe syrienne a avorté une tentative d’infiltration de terroristes depuis Khan Touman vers les zones sûres, et liquidé et blessé nombre d’eux, selon une source militaire.
La source a indiqué que des unités de l’armée ont tué et blessé nombre de terroristes et détruit leurs armes dans les villages et les localités de Mare’, Maslamiya, Atareb, Akhtarine, Tal Ref’at, Tal Sossyan, Tal Jabine, Daret Azza, Qal’et Sam’an, Kafar Karmein, Deir Hafer, Kafar Hamra, Jabiriya, Dhahret Abed Rabbo et dans la cité industrielle à Cheikh Najjar dans la banlieue d’Alep.
L’armée syrienne poursuit ses opérations dans la banlieue d’Idleb
Dans la banlieue d’Idleb, l’armée a ciblé des regroupements de terroristes à Kafar Najed, à Nahlia, à Aliya, à Badriyah, à Rami, à Kafar Haya, à Zahrat Qamouh, faisant des tués et des blessés parmi eux.
Toujours dans la banlieue de gouvernorat, une source militaire a déclaré à SANA que des unités de l’armée ont visé un rassemblement de terroristes à Kafar Takharim, tuant 19 terroristes, alors qu’elles ont détruit leurs véhicules dans la localité de Hibet.
D’autres unités avaient tué et blessé des terroristes près de la localité de Hilah et détruit trois véhicules dotés de mitrailleuses lourdes. Parmi les terroristes tués figuraient : Radwan Mustapha Khalaf, chef de la soi-disant » Brigade de Jabal Wastani ».
En outre, l’armée a détruit des repaires des terroristes près de la localité d’Abdita près d’Ariha, tuant et blessant nombre de terroristes, dont nombre de leurs chefs, et ciblé nombre de leurs rassemblements entre les deux localités de Khan Suboul et Sarmine, leur infligeant de lourdes pertes .
Sur un autre plan, une explosion à la voiture piégée est survenue dans le village de Maret al-Naassan dans la banlieue de gouvernorat, qui s’était soldée par la destruction d’un repaire des terroristes, la liquidation de nombre d’eux et la destruction d’un entrepôt d’armes et de munitions.
Arabie saoudite: comment le roi Abdallah a écarté les Sadiri du pouvoir
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Depuis qu’il a accédé au trône, le roi Abdallah s’est employé à mettre au point de nouvelle règles au détriment du clan des Sadiri. C’est l’avis de l’expert et militant saoudien Fouad Ibrahim exprimé dans un article qui analyse les dernières désignations opérées par le monarque saoudien et publié dans le quotidien libanais al-Akhbar.
La branche des Sadiri désigne les 7 fils du roi Abdel Aziz, le fondateur du troisième Etat saoudien, de son épouse Hassat, fille d’Ahmad Sadiri, et qui sont entre autre Fahed (décédé), Sultane (décédé), Abdel Rahmane, Turki, Nayef (décédé), Salmane (actuellement prince héritier) et Ahmad.
Seul Fahed parmi eux, a accédé au trône. Les autres, tout en étant désignés comme princes héritiers ont succombé avant. Le dernier d’entre eux, Salmane agé de 79 ans, voit devant ses yeux la consolidation de la position des fils du roi actuel au détriment des siens, et de ceux des fils des autres princes Sadiri.
Pour la première fois depuis 1964, l’héritier du prince héritier ou le second vice-roi n’appartient pas à ce clan. Il s’agit de Mokren Ben Abdel Aziz
Le second vice-roi
En effet, la manœuvre d’action du roi Abdallah s’est portée principalement sur ce poste.
En 1941, le roi Abdel Aziz y avait désigné Fayçal , et Saoud comme premier vice-roi.
Durant le règne du roi Fayçal, une nouveauté est intervenue : il avait créé un conseil des ministres dont la présidence lui revenait et la seconde vice-présidence au second vice-roi.
C’est Khaled, qui a été le premier prince Sadiri à l’occuper.
Avec l’avènement d’Abdallah, ce poste est resté vacant. La raison ne pouvait être que toute simple: écarter le clan des Sadiri, très puissants dans le royaume pour paver la voie à ses descendants
Or, pour mener à bien cette éviction, il faut faire en sorte que c’en est pas une, ou qu’elle n’émane pas de lui !
Le Conseil de l’allégeance de façade
C’est ainsi que le monarque a procédé à une manœuvre : la formation d’un Conseil d’allégeance de la famille royale, laquelle revient la désignation du second vice-roi. De façade seulement. Dans les faits qui s’en suivront, le but de cette instance s’est avéré être la création d’une alliance hostile aux Sadiri en faisant participer des pans de la famille longtemps marginalisés et qui faute d’occuper les hauts postes de l’Etat se satisfont de participer à soutenir l’un des deux camps.
Proposée en 2006, cette instance a vu le jour en 2007, via un décret royal. Avec ses 35 émirs, présidés par Méchaal Ben Abdel Aziz, elle pouvait choisir d’accepter ou de rejeter l’un des deux ou trois candidats suggérés par le monarque. Lui non plus n’était pas contraint d’accepter leur candidat. En cas de litige, les deux candidats seront soumis au vote au sein de cette instance dans un délai maximum d’un mois.
Etaient exempts de recourir à ce conseil, le roi en service et son prince héritier.
L’auteur de l’article Fouad Ibrahim se souvient qu’à cette époque, le roi Abdallah avait présenté sa création comme une nécessité dans le processus de modernisation du pouvoir saoudien, et de préservation de son l’unité nationale. Et comme étant une démarche qui complète les trois autres instances: le système du pouvoir, le système du conseil choura et le système des conseils régionaux.
Une telle mise en scène qui met de l’avant des objectifs nobles se devait de camoufler toute velléité d’écarter les frères Sadiri du pouvoir. Ces derniers n’étaient pas aussi dupes. D’autant que le poste de second vice-roi est resté vacant deux ans après la formation du Conseil d’allégeance.
Diviser les Sadiri
Deuxième étape de la manœuvre : diviser les Sadiri.
En catimini, un accord tacite était mijoté avec l’un de leurs princes, Nayef.
C’est ainsi qu’en 2009, celui-ci est désigné comme vice-président du conseil des ministres, directement par le roi, sans passer par l’instance concernée, tout en préservant le ministère de l’intérieur. Automatiquement, il devenait le second vice-roi.
C’est à ce moment que les membres du Conseil d’allégeance ont découvert l‘arnaque. Persuadés que leur conseil ne disposait d’aucune légalité, ils se sont voués à l’évidence que leur rôle n’a servi que pour une mission momentanée et d’une durée déterminée.
L’accord stipulait aussi un partage des pouvoirs entre leurs fils respectifs et d’ôter quelques-uns de leurs postes aux frères Sadiri. Cette transaction se mijotait entre les deux hommes au moment où l’ancien prince-hériter Sultan luttait pour sa survie contre le cancer et s’était littéralement écarté du pouvoir.
A sa mort en octobre 2011, un avis royal envoyé aux princes du Conseil leur demandait de choisir le prince Nayef comme prince héritier, comme premier vice-Premier ministre, et ministre de l’intérieur. Ce qu’ils ont fait sans broncher.
La seule voix dissidente a été celle du prince Talal, qui a refusé de n’être qu’un outil dans le conflit entre les branches de la famille royale et de signer à blanc les décisions du roi. Un mois à peine après la désignation du prince Nayef, il a présenté sa démission.
Mais le nouveau prince héritier n’a pu longtemps jouir de son poste. Un an à peine après sa désignation, il s’est éteint, succombant lors d’un voyage à Genève à une crise cardiaque fatale.
Evictions et désignations: de fils en fils
Auparavant, sa transaction sur le partage des pouvoirs avec le monarque était entrée en vigueur, et s’est avérée être largement à l’avantage de ce dernier et au détriment du clan des Sadiri.
En échange de la désignation de son fils Saoud, comme son conseiller du niveau d’un ministre, et de sa désignation comme chef de la cour du prince héritier, une série d’ordres royaux attribuaient au roi la présidence de plusieurs conseils et commissions.
La même année, un autre ordre royal a évincé le prince Sadiri Abdel Rahman de son poste de vice-ministre de la défense, et l’a attribué au prince Salmane Ben Sultane (fils du prince héritier décédé et frère du célèbre ancien chef des renseignements Bandar Ben Sultane).
Pas pour longtemps non plus : celui-ci a dû céder sa place il y a deux jours, sur une décision royale, en faveur de Khaled Ben Bandar Ben Abdel Aziz.
Avec l’éviction du frère Bandar, intervenu sur fond de la crise syrienne depuis quelques mois, les fils du premier prince héritier Sadiri du roi Abdallah se trouvent désormais exclus des postes clés de la monarchie.
Un sort similaire avait auparavant frappé les deux fils du roi défunt Fahed, Abdel Aziz et Mohammad en les démettant de leurs postes respectifs de ministre sans portefeuille et de prince de la région Charkiyya (la capitale de la richesse énergétique du royaume).
Même constat de bannissement pour les fils du deuxième prince héritier sadiri du roi, Nayef, et qui ont été ignorés dans les nouvelles désignations.
Dès lors, il faut supposer que Salmane, l’actuel et troisième prince héritier Sadiri, est sur ses gardes. Au cas où il accède au trône, il est le seul capable de mettre en l’air toutes les mesures que le roi actuel a prises en faveur de ses fils
Tout dernièrement, ce dernier a désigné deux d’entre eux dans deux postes clé : Méchaal comme prince de la capitale religieuse la Mecque, et Turki comme prince la capitale économique et financière, Riad.
Constat frappant : les dernières désignations et démissions ont eu lieu durant la visite du ministre de la défense américain Chuck Hagel en Arabie.
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=172764&frid=76&seccatid=141&cid=76&fromval=1
Mahasham & Azouzi
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